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Lifepartners & la finance durable

„L’avertissement le plus sévère jamais lancé“

Le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a rendu public son dernier bilan en août 2021 et ce dernier est
peu réjouissant1.


Pour qui en douterait encore, la responsabilité des activités humaines sur les dérèglements climatiques – et plus précisément
les émissions de gaz à effet de serre relâchées dans l’atmosphère depuis le début de la révolution industrielle en 1750 – est « sans
équivoque » aux yeux des experts du Giec. Les émissions mondiales de CO2 ont augmenté de 64% depuis 1990.


Un emballement continu et des dérèglements du système climatique se traduisant notamment par des phénomènes météorologiques
et climatiques extrêmes dans toutes les régions habitées du monde : vagues de chaleur, pluies torrentielles, sécheresses, incendies
dévastateurs … Des évènements plus fréquents mais aussi plus intenses comme nous avons pu le constater lors des inondations dramatiques
de ce mois du juillet sur la Belgique et l’Allemagne. La surface de la banquise arctique a atteint son plus bas historique : 1 million
d’espèces sont menacées d’extinction, …


Les climatologues envisagent l’évolution du climat en fonction de 5 scénarios d’émissions, du plus vertueux au plus désastreux, et il est
en effet plus que temps d’agir.


« Le changement climatique frappe plus durement et plus rapidement que beaucoup ne le prévoyaient. Les 5 dernières années sont en
passe de devenir les plus chaudes jamais enregistrées, les catastrophes naturelles sont de plus en plus intenses et fréquentes, et cette
année a été marquée par des conditions météorologiques extrêmes sans précédent partout dans le monde »2.


2021 année des inondations … et 2020 la plupart d’entre nous s’en souviendront comme l’année de la pandémie. Certains ont subi la
dureté de l’isolement et d’autres ont dû se charger de la scolarisation de leurs enfants à la maison tout en travaillant à domicile. Nombreux
sont ceux qui ont été privés d’emploi, gravement malades ou qui ont perdu des proches suite à la COVID-19. Les effets sociétaux et
économiques de la crise liée à la pandémie sont profonds !3

„Donner du sens à votre épargne“

Nous le savons, il n’y a pas de petit geste quand il s’agit d’oeuvrer pour le climat ou pour une société plus juste. Vous pouvez changer vos
habitudes de consommation, améliorer vos comportements, faire des dons mais aussi mettre votre argent au profit de causes environnementales
et sociétales tout en le faisant fructifier.


Les évènements extraordinaires que nous vivons soulignent l’importance d’orienter au maximum ses placements vers des investissements
dits “durables” ou “socialement responsables”.


Le développement de l’Investissement Socialement Responsable (ISR ou ESG) s’inscrit dans la prise de conscience de nos sociétés de la
nécessité de trouver un modèle de développement économique plus durable, et ce, afin d’assurer le développement et la prospérité de
tous sans détruire nos écosystèmes. Le secteur financier en tant que « Banquier » de notre économie doit jouer un rôle central dans le
financement et l’accélération de transition durable de nos sociétés.


Par contre, si investir de manière durable est important et se retrouve dans la documentation marketing de nombreuses institutions
financières et est sur les lèvres de tous les gestionnaires, la manière de le faire n’est pas toujours très claire… Une certaine opacité
existe toujours, maintenue souvent volontairement par certains.
Finance responsable, finance durable, investissement socialement
responsable, fonds éthiques, « best in class », normes ESG, « green bonds », « impact investing », … Pas toujours facile de s’y retrouver.

„Quels sont les critères ESG ?“

Pour simplifier, nous parlerons des critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance), qui sont des critères d’analyse extra-
financiers qui permettent d’évaluer comment les entreprises prennent en compte le développement durable dans leurs activités.

Ils sont organisés autour de 3 dimensions :


L’ENVIRONNEMENT : évaluation des impacts environnementaux de l’entreprise comme les émissions de CO2, la consommation
d’énergie, la gestion de l’eau et des déchets.


LE SOCIAL : prise en compte par l’entreprise de la gestion de ses ressources humaines, de ses fournisseurs, des communautés locales.
On s’intéresse aussi à la qualité du dialogue social, le respect des droits humains, la diversité au sein de l’entreprise (hommes/
femmes, handicapés, …).


LA GOUVERNANCE : s’intéresse à la façon dont l’entreprise est dirigée, la qualité et la diversité des organes de direction, la transparence
au niveau de la rémunération des dirigeants, les mesures prises contre la corruption, …
La plupart des entreprises communiquent aujourd’hui de nombreuses informations sur la manière dont elles prennent en compte les
facteurs ESG. Ensuite, ces facteurs ESG sont le point de départ pour la mise en place d’un Investissement Socialement Responsable (ISR).

Il existe ensuite plusieurs niveaux de durabilité possible au niveau de l’ISR. En voici quelques exemples :


• Un fonds ou un gestionnaire peut par exemple décider de ne pas investir dans certains secteurs ou activités basé sur des considérations
éthiques en pratiquant l’exclusion (armement, tabac, jeux d’argent, …), on parlera alors souvent de fonds « éthiques ».
• En plus de l’exclusion, un fonds peut aller un peu plus loin, et investir dans chaque secteur via les entreprises qui obtiennent les
meilleures notes ESG
, on parlera alors plutôt de fonds « Best in class » ou « Best in universe ».
• Et enfin, sur la première marche du podium on parlera généralement des fonds « à impact » qui investissent dans des entreprises
dont l’activité génère de manière intentionnelle et mesurable des impacts environnementaux et sociaux positifs.

« NOTE EXPLICATIVE SUR LES PRÉFÉRENCES EN MATIÈRE DE DURABILITÉ »


Dans le cadre d’une nouvelle législation européenne, l’équipe de Lifepartners vous demandera vos préférences en matière de durabilité
et ce, à partir du 02 août 2022.


Afin de vous aiguiller au maximum dans votre choix, voici une explication détaillée des différentes catégories proposées :


CATÉGORIE A : OBJECTIF ENVIRONNEMENTAL SELON DES CRITÈRES DÉTAILLÉS

Les investissements contenus dans cette catégorie sont réalisés dans des activités économiques qui contribuent à un objectif environnemental
en tenant compte du Règlement Taxomonie.


Ce type d’investissement contribue à un ou plusieurs objectifs environnementaux suivants :
• L’atténuation et l’adaptation au changement climatique ;
• L’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et marines ;
• La transition vers une économie circulaire ;
• La prévention et le contrôle de la pollution ;
• La protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes.
De plus, plusieurs aspects sont garantis tels que :
• Le respect de la Charte Internationale des Droits de l’Homme ;
• Le respect des principes et droit fondamentaux au travail énoncés par l’Organisation Internationale du Travail ;
• Le respect de critères d’examen techniques.


Par exemple : réutiliser et recycler les déchets, utiliser et gérer durablement les terres, …


CATÉGORIE B : OBJECTIF ENVIRONNEMENTAL ET/OU SOCIAL DÉFINI(S) DE MANIÈRE PLUS GÉNÉRALE PAR LE LÉGISLATEUR

Les investissements contenu dans cette catégorie sont réalisés dans des activités économiques qui contribuent à un objectif environnemental
et/ou un objectif social défini(s) de manière plus générale en tenant compte du Règlement SFDR.


Ce type d’investissement contribue à :
• Un ou plusieurs objectifs environnementaux et/ou sociaux (énergie renouvelable, matières premières, cohésion et intégration sociale, …) ;
• L’absence de préjudice causé à ces objectifs ;
• L’application des bonnes pratiques de gouvernance (structure de gestions saines, politique d’emploi, rémunération correcte, …).



CATÉGORIE C : PRINCIPALES INCIDENCES NÉGATIVES

Les investissements contenus dans cette catégorie ne contribuent pas à un objectif environnemental ou social.

Néanmoins, votre décision d’investissement dans cette catégorie tient compte des principales incidences négatives qu’elle peut avoir
sur les facteurs de durabilité telles que :
• Les questions environnementales ;
• Les affaires sociales et de personnel ;
• Le respect des droits de l’homme ;
• La lutte contre la corruption et les actes de corruption.


Par exemple : exclure les investissements dans les activités impliquant le travail des enfants, dans les activités qui affectent négativement
les zones sensibles à la biodiersité, …


A partir du 1er janvier 2023, il vous sera demandé le pourcentage minimum souhaité d’aspect durable contenu dans votre produit pour
la catégorie a, b ou c.


Ce pourcentage donné peut bien évidemment évoluer à l’avenir lors de nos rapports annuels d’adéquation de votre/vos produit(s).
Pour toute questions relative aux nouvelles normes de durabilité, n’hésitez pas à contacter l’un de nos collaborateurs.

„Les agences de notations, les labels & le SFDR : Comment s’y retrouver ?“

Les critères ESG sont notés par des agences de notation extra-financières. Il s’agit de sociétés chargées d’évaluer la politique sociale et
environnementale d’un acteur économique. Après analyse, elles lui attribuent des notes sur différentes thématiques. À titre d’exemple,
au sein de Lifepartners, nous avons notamment retenu la méthodologie de notation à 360 degrés de Quantalys pour évaluer la qualité
de l’approche ISR de nos gestionnaires.
Ce sont plus de 1.900 fonds ISR analysés sur près de 30 critères ESG différents. Grâce à ses
analyses financières propriétaires et indépendantes, la société Quantalys fait référence dans le monde de l’épargne et de la gestion de
patrimoine.4


Au-delà des notations, il existe une vraie jungle de « labels » (ISR, Finansol, Luxflag, Greenfin, …) en Europe dont beaucoup ont clairement
la communication et le marketing comme raison d’être. Il n’est donc pas aisé pour les investisseurs finaux de s’y retrouver…
Par contre, pour les investisseurs belges nous retiendrons le label « Towards sustainability » de Febelfin, qui est d’ailleurs considéré
comme l’un des labels les plus stricts en Europe5.


Encore fallait-il réguler toutes ces initiatives afin que l’investisseur final puisse enfin s’y retrouver et éviter que les gestionnaires de fonds
de placements ne fassent de l’écoblanchiment (du « greenwashing ») et ne présentent leurs produits comme plus durables qu’ils ne le
sont en réalité !


C’est dans ce but qu’une nouvelle étape vient d’être franchie en ce début d’année 2021 avec l’entrée en vigueur le 10 mars 2021 du règlement
européen sur la publication d’informations en matière de durabilité dans le secteur des services financiers, mieux connu
sous l’acronyme SFDR.


Le SFDR impose donc aux gestionnaires de fonds de faire preuve de transparence sur la durabilité de leurs investissements. Ils sont tenus
d’indiquer de quelle manière ils intègrent des objectifs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans leur politique
d’investissement. Le SFDR distingue trois grandes catégories de produits financiers :


PRODUIT ÉLIGIBLE À L’ARTICLE 9 = Produit financier qui a pour objectif l’investissement durable c’est-à-dire que l’investissement est
réalisé dans une activité économique qui contribue à un objectif environnemental et/ou social.


PRODUIT ÉLIGIBLE À L’ARTICLE 8 = Produit financier qui promeut des caractéristiques environnementales et/ou sociales.


• PRODUIT ÉLIGIBLE À L’ARTICLE 6 = Produit financier qui n’implique aucune prise en compte particulière de critères ESG dans son
objectif d’investissement.


Les objectifs de ce règlement sont de renforcer la protection des investisseurs finaux (c’est-à-dire vous qui nous lisez) et améliorer
la publication des informations qui leur sont destinées. En somme, obtenir la plus grande transparence possible sur la conformité aux
principes de finance durable/ESG d’un produit financier.


À titre d’exemple, en date du 21 mai 2021, selon le dernier rapport de la FSMA (« L’autorité des services et des marchés financiers » en
Belgique), 3% seulement des fonds de droit belge relèvent de l’article 9, 25% de l’article 8 et 68% de l’article 66.

„Les investissements durables sont-ils performants ?“

Depuis une dizaine d’années, de nombreuses études révèlent que les fonds intégrant les facteurs ESG ne génèrent pas forcément moins
de rendement. Au contraire, l’intégration des critères ESG permet une meilleure compréhension des sociétés et de leurs activités. les entreprises
avec une vision novatrice par leur implication ESG auraient plus de chances d’accroître leurs résultats sur le long terme grâce, par exemple, à l’utilisation d’énergies renouvelables, le bien-être du personnel qui améliore la productivité ou encore la transparence
des rémunérations des dirigeants qui assure le maintien d’une bonne gouvernance dans l’entreprise7.


De plus, grâce à leur maitrise des risques, les fonds ESG seraient plus robustes face aux turbulences de marché. À titre d’exemple,
2020 restera une année historique pour les marchés financiers qui ont connu, avec la crise sanitaire mondiale, l’une des baisses les plus
fortes et les plus rapides de leur histoire. Une baisse qui sera aussi l’une des plus vite effacées.

En analysant en détail et en comparant les
entreprises qui bénéficient des meilleures notes ESG avec celles qui ont les plus mauvaises, voici les principaux constats :


• LES CRITÈRES ESG SONT BIEN UN FACTEUR DE SURPERFORMANCE. Les entreprises avec les meilleures notes ESG ont affiché des
performances annuelles plus élevées.


• LES CRITÈRES ESG SONT UN FACTEUR DE RÉSILIENCE. Les entreprises avec les meilleures notes ESG résistent mieux dans les périodes
de mouvements extrêmes à la baisse sur les marchés.


D’après les études, nous observons aussi que les entreprises avec les meilleures notes ESG sont majoritairement des entreprises de qualité
présentant des bilans sains. Ces entreprises sont souvent aussi beaucoup plus attentives à la protection de l’environnement et
de leurs collaborateurs
. Certaines d’entre elles avaient par exemple ainsi déjà déployé avant la crise Covid des solutions de télétravail,
offrant à leurs salariés un cadre de travail propice à un meilleur équilibre vie professionnelle/vie privée.
Pris séparément, les critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance semblent tous être une source de performance sur le long
terme8 9 10.

„Mais qu’en est-il chez Lifepartners aujourd’hui ?“

Lifepartners est votre conseiller pour la gestion de votre patrimoine. S’appuyant sur une longue expérience des marchés financiers, Lifepartners
vous conseille un investissement d’une part, en fonction de vos critères dont les plus importants sont votre situation personnelle,
patrimoniale, financière, professionnelle ; votre appétence aux risques financiers (profil de risque) et votre connaissance des marchés/
produits financiers. D’autre part, en fonction de sa propre évaluation des marchés et produits financiers disponibles sur le marché.


Durant leur carrière professionnelle, les personnes au sein de l’équipe Lifepartners ont analysé de manière exhaustive plus de 400
gestionnaires d’actifs aux 4 coins du monde
. Sur base de cette expérience ils en ont établi une liste de critères qui devra être scrupuleusement
respectée par les gestionnaires sélectionnés pour compte des clients de Lifepartners.

Cette évaluation, Lifepartners la souhaite transparente. Que ce soit au niveau des coûts et frais des investissements ou de la qualité de
leurs performances historiques.
Le processus de sélection des fonds chez Lifepartners est d’un côté basé sur une analyse fondamentale rigoureuse et approfondie visant
à évaluer le couple rendement/risque des fonds communs du marché. D’un autre côté, la sélection se fait sur base d’une analyse des
coûts et frais de ces mêmes fonds.


Ce processus débouche sur une sélection de fonds (fonds mixtes, fonds actions, fonds d’obligations, fonds à thèmes, etc…) pouvant répondre
aux critères personnels de chacun de ses clients. Nos exigences vis-à-vis de nos gestionnaires se concentrent, entre autre, autour
de la transparence de la structure de frais, de l’alignement d’intérêt au côté du client, de la pérennité et de l’expérience de l’équipe de
gestion ou encore de la résistance du portefeuille durant les différentes phases de stress sur les marchés financiers.


Mais aujourd’hui chez Lifepartners, l’objectif n’est plus seulement d’obtenir un rendement pour son client mais d’obtenir un rendement
qui ne nuit pas à la planète ou à la société
. C’est pourquoi, la finance durable/ESG vient aujourd’hui non seulement compléter le
processus habituel mais surtout y prendre la première place.


Ainsi un des premiers critères de sélection des fonds communs chez Lifepartners est en effet l’intégration des principes ESG dans les
produits d’investissement. Tant il est vrai qu’une intégration ESG permet de limiter les risques de réputation, de mauvaise gouvernance
et d’activités controversées au niveau environnemental.


À nouveau, en demandant une totale transparence aux acteurs financiers (gérants de fonds), le SFDR est un soutien important dans
notre démarche. En outre, tous nos gestionnaires sont signataires des PRI (les Principes pour l’Investissement Responsable). Les PRI
sont une initiative portée par les Nations Unies depuis 2005. Les signataires doivent prendre une série d’engagements dont le fait d’intégrer
les questions ESG à leurs processus décisionnels et d’analyse des investissements.


Ce n’est qu’après cette première sélection, ce premier filtre, que Lifepartners examine dans un second temps les facteurs fondamentaux
des fonds communs retenus et, dans un troisième temps, les coûts et frais liés à l’investissement.


Lifepartners en combinant rendement attendu et résultats durables met en avant une finance différente ayant pour objectif un
avenir meilleur pour tout un chacun tant sur le plan environnemental que social.

„L’engagement de Lifepartners ?“

Les équipes de Lifepartners s’engagent à promouvoir l’investissement à impact positif auprès de ses clients et à travers ses publications.


L’investissement d’impact est basé sur la volonté de générer des impacts environnementaux et sociaux positifs en même temps
qu’un rendement financier sur le long terme
. Ce courant d’investissement en plein essor cherche ainsi à prouver qu’en mettant les
capitaux privés aux services de grandes causes sociétales, la finance peut faire partie des solutions aux défis environnementaux et sociaux
de nos sociétés.


Même s’il existe encore peu d’indicateurs standardisés pour la mesure d’impact positif, beaucoup d’entreprises cherchent notamment
à démontrer la contribution qu’elles apportent aux Objectifs de Développement Durable (ODD) de l’ONU (Organisation des Nations
Unies). Les ODD sont la feuille de route de l’ONU qui tend à s’imposer comme un moyen de standardiser le mesure d’impact positif (Les
Objectifs de développement durable – Développement durable (un.org)) 11.


Chez Lifepartners, nous sommes convaincus que la prochaine décennie appartiendra aux investisseurs durables, et grâce au
soutien de nos équipes, nous pensons pouvoir vous apporter ce que vous attendez de nous & apporter notre contribution à la
planète bleue.


Weiswampach, le 10 septembre 2021


L’équipe Lifepartners

1 6ème rapport d’évaluation du GIEC : www.ipcc.ch/ar6.
2 Global Impact Investing Network (GIIN).
3 M&G : Rapport annuel d’impact 2020.
4 Classification ESG Quantalys des fonds – Méthodologie – Mars 2021.
5 www.towardssustainability.be.
6 Communiqué de presse du 16/06/2021 de la FSMA.
7 Allianz – L’investissement durable – 1er mai 2020.
8 LFDE – Carnets de recherche – ISR & Performance – Mars 2021.
9 Taking the long view, A toolkit for long-term, sustainable investment mandates – University of Cambridge.
10 8 clés pour comprendre l’ISR – DNCA Investments.
11 www.un.org/sustainabledevelopment/fr/objectifs-de-developpement-durable/.

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